arabe littéral造句

• La grande majorité des locuteurs du tunisien comprennent et peuvent s'exprimer en arabe littéral.
• Les abyat par lesquels commence la nouba, généralement au nombre de deux, sont en arabe littéral.
• En revanche, la plupart des auteurs contemporains écrivant des nouvelles préfèrent s'exprimer en arabe littéral ou en français.
• Dans certains cas, le dialogue d'une nouvelle sera écrit en tunisien alors que la partie narrative sera en arabe littéral.
• Quant aux médias d'information, qu'il s'agisse du journal télévisé ou la presse écrite, ils s'expriment aussi en arabe littéral ou en français.
• Mouna Noureddine est aussi à son aise sur les planches que devant les caméras, interprétant des textes en tunisien comme en arabe littéral ainsi qu'en français.
• Au Maroc, des chanteurs tels que Ahmed El Bidaoui ou Ismaël Ahmed chantent en arabe littéral ou en arabe dialectal marocain soutenu, et caractérisé par un accompagnement orchestral.
• La poésie par contre semble être un domaine encore vierge d'œuvres en dialecte, les grands auteurs du pays comme Abou el Kacem Chebbi s'étant toujours exprimés en arabe littéral.
• Le manque de volonté politique de promouvoir la langue, ainsi qu'un trop grand fossé entre arabe littéral et arabe dialectal sont aussi des obstacles à l'internationalisation réelle de l'arabe.
• Dans la réalité des échanges linguistiques, il n'y a pas de séparation étanche entre arabe littéral et arabe dialectal, mais plutôt un continuum où dominent les formes mixtes, les locuteurs combinant, de manière variable selon les contextes, des éléments propres à leur parler et d'autres qui sont empruntés à la langue écrite.